Estimation de l'impact des entreprises et des start-ups sur l'économie libanaise

Estimation de l'impact des entreprises et des start-ups sur l'économie libanaise.


Mr. Georges Sebastian Gerard Bellos 

Masters Degree Holder in Archeology 

MBA Graduate Student, Lebanese International University 

Saloumi Road, Lebanon


Résumé de recherche

    Le Liban n'est pas considéré comme un environnement favorable à l'entrepreneuriat. Il existe beaucoup de défis qui empêchent les start-ups de transformer leurs idées en entreprises. L'origine de tous les défis sont profondément enracinés dans la faiblesse des institutions publiques du gouvernement libanais. Peu de mesures ont été prises par des secteurs distincts pour soutenir l'entrepreneuriat, mais rien n'est sérieux et officiel. En 2013, la Banque centrale libanaise (BDL) a décidé de prendre l'initiative en émettant la circulaire 331 comme la première mesure officielle prise dans le pays vers entrepreneuriat. La circulaire 331, représentant le principal mécanisme de financement des start-ups, étant principalement dans le secteur de la technologie, et de l'informatique. Cependant, le budget est presque fait, et une nouvelle stratégie devraient être adoptées pour améliorer l'écosystème de l'entrepreneuriat (voir: https://scholarworks.aub.edu.lb/handle/10938/21673)


Afin de comprendre le écosystème libanais actuel, une approche Triple Hélix est adoptée. L'idée centrale de la est de favoriser la collaboration entre le gouvernement, les universités et l'industrie pour créer un écosystème entrepreneurial durable. Dans le modèle Triple Hélix, une telle collaboration est appelé espace de consensus, où le gouvernement, les universités et l'industrie interagissent de manière interdépendante. Leur interaction est basée sur des rôles spécifiques joués par chaque acteur comme ainsi que des rôles empruntés les uns aux autres visant à combler une lacune dans l'écosystème. ceci a ube application dans le contexte libanais, cette thèse vise à étudier la nécessité d'un espace de consensus formation pour aider les start-ups à se développer dans des institutions publiques aussi faibles (voir: https://scholarworks.aub.edu.lb/handle/10938/21673)


Mots clés: Triple Hélix, Entrepreneuriat, Startups, Contexte Libanais, Économie basée sur la connaissance, Circulaire 331.


Aperçu: 


    La possibilité de passer des économies rentière aux économies de production, de manière à nous aider à comprendre les implications, ont été discutées dans diverses recherches au cours de la dernière décennie, où les besoins urgents étaient ciblés si nous ne le faisions pas. De nombreux experts dans le domaine de l'économie, ou dans des domaines connectés, parlent de l'urgence d'éliminer toute importation, tout service inutile ou tout aménagement qui aggrave encore l'endettement de notre société, puisque les récents chiffres de la Banque mondiale estiment un ratio dette/PIB de 460%, de loin. le pire au monde (voir: https://beirut-today.com/2019/04/23/lebanon-budget-people/). Cela corrobore avec les résultats des rapports de McKenzie et de la banque mondiale de 2018, ainsi que des notes de Standard and Poors et de Moody's pour le Liban qui montrent des chiffres désastreux. Les prévisions récentes s'avèrent en quelque sorte correctes pour l'année 2019, avec un ratio de dette au PIB estimé à 160%, comme le mentionnaient les statistiques 2018 de la Banque mondiale (voir: https://en.annahar.com/article/1039542-highinterest-rates-mean-a-weaker-currency).


Les entreprises entrepreneuriales sont peut-être le seul moyen de sortir de ce gâchis, car selon Mohammad Younus, lauréat du prix Nobel, et fondateur du système de la Banque Grameen, les gens naissent en tant qu'entrepreneurs, et les sociétés par nature sont conçues pour écraser cela. Ainsi, si les gens embrassent leur talent créatif, ils peuvent créer des merveilles et innover dans le monde du 21e siècle. (voir: https://scholarworks.aub.edu.lb/handle/10938/21673). La recherche adresse cette question: Comment les entreprises entrepreneuriales et les start-ups affectent l'économie libanaise? Le travail englobera des méthodes de recherche mixtes donc, aura des hypothèses, H0 (pas de lien entre les variables) et H1 (liens entre les variables); pour la partie quantitative. Cette recherche adressera aussi comment valoriser économiquement nos ressources pour favoriser la croissance économique, afin d'optimiser ceci (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/).


Énoncé du problème:


Le chercheur cherche à examiner comment les entreprises et les start-up affectent efficacement l'économie libanaise. Les dernières décennies ont prouvé que notre économie rentière actuelle ne répond pas du tout à nos besoins sociétaux. En fait c'est le contraire, puisque les obstacles majeurs à la croissance économique autres que les agendas politiques conflictuels, la corruption, le terrorisme, le blanchiment d'argent, parmi d'autres transactions illicites, le népotisme et l'utilisation inappropriée des actifs publics, qui incluent également les mauvaises politiques fiscales et monétaires ainsi que les conditions inappropriées pour les investissements, sont tous à blâmer. Les experts pensent qu'une fois la corruption réduite, l'afflux de soutien extérieur peut nous aider à reconstruire notre économie. Ce n'est qu'alors que nous pourrions envisager la durabilité, car même les ODD ne peuvent être mis en œuvre une fois que le terrorisme, les agendas politiques conflictuels et la corruption seront minimisés voire éliminés (voir: https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3200278).


Cette étude, basée sur la possibilité de proposer une méthodologie basée sur la recherche-action proposera une solution pour la reconstruction de notre économie basée sur la mise en place d'entreprises en démarrage à travers une possibilité que chaque entreprise entrepreneuriale, une PME à la fois contribuera à besoin de croissance économique dont ce pays a désespérément besoin car il n'y a pas dans un avenir prévisible que l'État ou la BDL aient l'intention de le faire, malgré avoir lancé la circulaire 331, en 2013 (voir: https://scholarworks.aub.edu.lb/handle/10938/21673). Le chercheur, à cet égard, propose une étude exploratoire séquentielle consistant à proposer une première étape de la recherche pour recueillir des avis d'experts en interrogeant quelques avis d'experts ciblés au moyen d'entretiens, suivi de la diffusion de sujets choisis au hasard pour le questionnaire structuré de la recherche, ciblant une population représentative (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/).


Comptes rendus:


Les politiques gouvernementales et monétaires jouent un rôle central dans l'évolution de la conjoncture économique et discours et pratiques sur les opportunités financières dans les pays développés et en développement. Le but ultime de ce document de recherche est d'examiner et d'explorer "l'impact des entreprises et des start-ups sur l'économie libanaise" . Il démontre que l'économie rentière improductive du Liban s'articule autour de quatre secteurs cruciaux : le secteur domestique (mais pas nécessairement l'immoblier), le secteur privé, le secteur public et le secteur des imports-exports (voir: http://ww.lcps-lebanon.org). Ce type d'économie est principalement basé sur les services, comme les économies rentières sont similaires aux économies dites de services. Les deux étant inadéquates au Liban actuellement, qir était principalement entrain de favoriser le consumérisme et c'est d'ailleurs ceci qui a ruiné le pays (voir; https://beirut-today.com/2019/04/23/lebanon-budget-people/).


À ce jour, les incubateurs d'entreprises sociales et les modèles de financement au Moyen-Orient n'en sont qu'à leurs balbutiements, bien que la demande pour leurs services soit à la hausse, compte tenu de la rôle important qu'elles jouent dans le cycle de vie des entreprises sociales. Cette recherche définit les responsabilités des incubateurs et des institutions de financement et les ingrédients qui déterminent leur succès. Une analyse des expériences de sélection suivent les entrepreneurs sociaux libanais et les incubateurs libanais, soulignant nabad, le premier incubateur d'entrepreneuriat social du Liban, exemple parfait de l'entraide relation bénéfique partagée entre eux. Sur la base de ces constatations, la recherche actuelle procède à la synthèse des facteurs de réussite d'incubation dans l'espace de l'entrepreneuriat social. 


Déjà nous résumons brièvement comment calculer l'IPC à travers la consommation du panier de marché. Premièrement, le coût du panier de l'IPC pour la période en cours est de 70$. Deuxièmement, l'IPC est calculé à l'aide de la formule : IPC = (Coût du panier de la période courante/Coût du panier de la période de base) × 100. Troisièmement, en utilisant les chiffres de l'exemple simple, l'IPC est IPC = (70 $/50 $) × 100 = 140. Quatrièmement, l'IPC (ou IPP = Prix par indice) peut être mesuré en termes d'inflation (ou par le pourcentage (%) de variation par rapport à l'AA par rapport à l'AB, par exemple). Cinquièmement, la formule du dCPI nous aide, dCPI = (CPI nouveau CPI ancien / CPI ancien) x 100. Enfin, le pourcentage (%) dCPI est le moyen d'estimer l'inflation. Alors que le déflateur du PIB mesure la croissance. La Figure 1 nous aide à estimer ceci au Liban de l'année précédant la "Thawra" du 17 Octobre 2019. Mesurer l'IPC avec le facteur de l'inflation ce fait suivant ces 3 étapes: Premiérement, avec le dCPI, on calcule le changement à partir de l'IPC actuelle en la comparant avec celle de l'annéz précédente, IPC nouveau – IPC ancien / IPC ancien = dCPI. Deuxièmement, le pourcentage (%) dCPI (% dCPI) est utilisé pour mesurer l'inflation. Enfin, le déflateur du PIB est mesuré en termes de croissance et non d'inflation (cela introduit le cycle économique au Liban qu'on poursuit avec la Figure 2).

 


Figure 1: L'IPC au Liban entre Octobre 2018 et Juillet 2019.


Notre compte rendu nous a permis d'adresser certains points, notamment avec la Question 1 ("Passer d'une économie de services à une économie productive au Liban est-ce réellement possible? Expliquez vous") que nous avons adressé à l'expert. Il nous a confié que généralement, c'est possible mais que ceci dépend d'une décision politique et macro-économique avant qu'il ne s'agisse d'une question technique (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Mais avant de passer d'une économie dépendante des services à une économie basée sur la productivité, le Liban devrait commencer à maintenir son plan de préparation des infrastructures des secteurs productifs. Lois, faire des modèles d'affaires, les, facilités financières et monétaires, et ceci bien sûr prévoit des organigrammes prévus à cet effet, comme avec le système Hélix: Quant à la Question 2 ("Du cycle économique, il y a des booms économiques (pics), des récessions, des dépressions (creux) et des reprises qui se produisent dans tous les pays du monde. Dans quelle situation se trouve le Liban maintenant?") l'expert nous indique que le pays se trouve depuis les é dernières années dans une phase de croissance négative. Il souligne que cela ne fait pas partie du contexte de croissance négative dont souffrent de nombreux pays dans le monde, avec les effets de la Covid-19. Au contraire, la croissance négative libanaise est liée à l'effondrement économique et financier du pays (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/).


La Question 3 ("Définissez l'efficacité économique, qu'est-ce que c'est et comment pouvons-nous l'atteindre au Liban?") est importante pour nous et la réponse nous pousse à comprendre l'enjeu d'envisager le système Hélix: Selon l'expert; l'efficacité économique en micro-économie consiste à appliquer la meilleure opération économique avec des coûts de production minimes pour les produits et services (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). En d'autres termes, c'est un terme utilisé dans la communauté économique universitaire pour décrire la situation où l'État, l'institution, et/ou  l'entreprise réalisent la meilleure opération économique avec un coût minimal de production de biens ou de services, parallèlement à une production maximale. Quant à la réalisation de ce concept au Liban, elle n'est possible au niveau de l'État qu'après avoir commencé à planifier la vision macro-économique, rendant donc l'adoption du modèle d'Hélix assez difficile. Hélas, des 3 sphères du Modèle d'Hélix où aucune d'entre elles ne veulent collaborer avec les autres; indiquant un besoin urgent d'instaurer un espqce de commuication et de consensus afin de permettre le dialogue avec ces sphères.


La Question 4 ("Lequel des indicateurs suivants Inflation élevée, Chômage élevé, Corruption, Terrorisme, Faible croissance du PIB, Dette étrangère élevée, Manifestations et Prêts et intérêts affectant le plus notre économie actuellement?") liste les indicateurs socio économiques et géopolitiques pouvant affecter la croissance économique du pays (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Selon l'expert, l'inflation élevée, corruption, la dette étranger élevé, et les manifestations sont les indicateurs ayant affecté le plus notre croissance: Ceci dit d'autres recherches prouvent que les manifestations comme la "Thawra" sont des effets de ces crises socio économiques, et non l'une des causes; et on va aussi loin à penser que c'est que la junte politique et leurs cartels associés veulent que l'on pense, nais hélas pour eux leur stratagèmes ne prennent plus, après 3 décennies des actes de corruption, de déception; de vols, de mensonges, et de terrorisme de leur part, le peuple n'est plus dupe, et cela présente les indicateurs d'un écart de récession (Figure 2). La Question 5 ("Veuillez nous dire si ces indicateurs affectent tous l'économie de la même manière, ou si au contraire, il s'agit d'un ensemble de deux indicateurs ou plus et pourquoi?") nous permet d'y voir plus clair. Selon l'expert, c'est un ensemble de nombreux indicateurs, car le problème économique libanais est chronique, et profondément attaché à l'instabilité politique, ce que d'autres recherches corroborent (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Bref, ceci pourrait être une des causes principales d'un écart de récession (Figure 2).


La Question 6 ("Après avoir défini le(s) indicateur(s) affectant le plus l'économie libanaise, nous souhaitons savoir maintenant parmi les «raisons de la dévaluation de la monnaie LL» suivantes, lequel(s) l'affecte le plus et pourquoi?") est adressée à l'expert qu'ils nous dise selon lui quelle est le pire des indicateurs listés précédemment: Selon lui, la dévaluation n'est pas nouvelle, la BDL a couvert la différence entre le prix réel de la livre libanaise et le prix fixe, depuis 1993. Le prix réel de la monnaie locale a été exposée lorsque les dépôts en dollars à la BDL se sont épuisés au cours de cette crise (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). La Question 7 ("Après avoir défini précédemment la VD et les VI potentielles, les chercheurs ont détecté plusieurs autres variables externes, aggravantes, modératrices, médiatrices, intervenantes, s'il vous plaît, à votre avis, aidez-leur à détecter cette variable "Pas d'environnement sain pour attirer les investisseurs" , comme trois VI, à travers elle,  affecte la VD") nous aide aussi à a y voir plus clair (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Selon l'expert, effectivement la variable "Pas d'environnement sain pour attirer les investisseurs" est profondément liée à la situation tendue, aux conflits géopolitiques, et à l'instabilité sécuritaire, en plus des facteurs liés à l'état de droit (ou a son manque), et à l'absence de transparence, tout en accentuant les actes de corruption et de terrorisme. Ceci rendant les applications des ODD difficiles, voire impossibles, selon d'autres experts. Donc, ceci pourrait aussi contribuer aux indicateurs d'un écart de récession (Figure 2).


La Question 8 ("Qu'est-ce qu'un plan rationnel de développement économique? Des idées?") nous aide à savoir si cela peut être envisagé au Liban ou pas. selon l'expert, la principale idée rationnelle du développement économique pourrait consister à développer un nouveau modèle économique, basé principalement sur les ressources humaines nationales libanaises dans les domaines de la technologie, de l'IA, de la RV, et de la RA (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Ceci étant  soutenu par les autres secteurs, comme ceux de l'industrie, de l'énergie (avec la découverte de gisements de gaz naturel, mais hélas très mal gérés si on s'appuie sur l'interview télévisée de M Carlos Ghosn, de Janvier 2021), et du tourisme. Hélas, le secteur du tourisme et de l'hospitalité, un des principaux contributeurs de notre PIB a énormément souffert suite à la pandémie. La Question 9 ("Sur la base des deux politiques fiscales (et monétaires) existantes, veuillez nous les définir et, à votre avis, nous dire laquelle est appliquée par l'État et laquelle est appliquée par la Banque centrale pour le Liban") nous aide à comprendre qui fait quoi (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Selon l'expert, le ministère des finances a pour rôle de mettre en œuvre la politique budgétaire, tandis que le rôle de la BDL est encadré par la mise en œuvre de la politique monétaire. Les politiques budgétaires et monétaires ont pour but dans certains cas d’accélérer les économies (expansionnistes), ou de les ralentir (contractionnelles); cst le but premier des politiques d'accélération des économies sont pour sortir lers pays des crises, chose que ni l'état, ni la BDL ne fait actuellement. Contrairement aux politiques de ralentissement, ayant pour but d'augmenter les inflations et la politique appliquées par cette junte et leurs cartels associés depuis 1992, expliquant pourquoi nous nous enfonçons davantage en récesession au lieu de nous en sortir (voir: https://en.annahar.com/article/1039542-highinterest-rates-mean-a-weaker-currency). 


Ceci dit, la Question 10 ("les chercheurs pensent que le Liban est en période de récession et utilise des politiques restrictives par le biais des politiques fiscales du gouvernement et des politiques correspondantes de la banque centrale. Êtes-vous d'accord ou pas d'accord? Et pourquoi?") présente notre avis soutenu par plusieurs recherches effectuées dans ce domaine. Selon l'expert; le Liban est un exemple des deux situations. C'est une situation complexe où les politiques fiscales et monétaires étouffent les possibilités de croissance économique, pour couvrir le service de la dette, et le gel des taux en LL (voir: https://libnanews.com/effets-des-crises-consecutives-au-liban-sur-lefficacite-des-marches-financiers-et-le-blanchiment-dargent-discuter-des-differents-obstacles-au-passage-dune-economie-rentiere-a-une-economie-de-pr/). Il y'a accords entre son avis et le notre dans le fonds, car, en effet les politiques successives des ministères des finances et de la BDL ont favorisé les politiques contractionnelles. Ceci expliquant les conflits des divers agendas politiques et tout le mécanisme Ponzi orchestrés par les oligarches et leurs cartels, ayant pour but d'appauvrir la population, pour s'enrichir, et de voler les aides internationales parvenues de l'IMF et de la communauté internationale. En reliant les Questions 9 et 10, d'autres experts dans secteur bancaire ajoutent que le rôle le la BDL aussi est de créer des circulaires (ex. les circulaires 151 et 158, en relations aux déposants pouvant avoir accès à leurs comptes moyennant certaines conditions, et la circulaire 331 qui nous intéresse sur le point de vue de l'état qui subventionne les start-ups Libanaises) et de les renforcer, choses qu'évidemment elle ne fait pas, car la circulaire 331, instaurée en 2013 ne semble toujours pas être appliquée. En référence aux circulaires 151 et 158, on assiste à un bras de fer entre la BDL, l'ABL et les banques, bref un dialogue de sourds. Car un accord de leur part et l'économie sera relancée! Les indicateurs des écarts de récession sont présentés ci dessous (Figure 2).


 



Figure 2: Le phénomène des écarts de récession, avec identification des autres zones dans la courbe du cycle


Conclusions:


        En conclusion, des recommandations sont fournies dans la poursuite du développement de la l'espace d'incubation et de financement naissant dans le monde arabe, en particulier à la lumière de la vaste potentiel de croissance de l'entrepreneuriat social dans cette région (voir: https://scholarworks.aub.edu.lb/handle/10938/10509). D'autres experts vont dans ce sens, et le consensus pour faciliter la communication entre les diverses sphères, état, académiciens, industriels doit impérativement être restaurée, sans quoi on n'avancera pas (voir: https://scholarworks.aub.edu.lb/handle/10938/21673). Notre conclusion va dans se sens également, avec l'adoption du modèle Hélix, tout en accentuant sur le point d'appliquer des zones de communication et de consensus ainsi que d'encourager des espace de travail en commun pour favoriser la collaboration entre start-ups et les diverses sphères du modèle d'Hélix.


Notre compte rendu met en évidence que les économies de services, similaires aux économies rentières, et ont défini qu'au le Liban, comme les États-Unis, a joui pendant des décennies d'une économie de consumérisme, mais à défaut de stabilité tout le système a capoté; Car, comme notre recherche a attesté, comme notre recherche sur le point de vue des questions pourvues de sens, a mis au jour ce que certains oligarches, ou tous ont tant bien que mal essayé de cacher. En effet, et sans aucun doute, l'économie libanaise est déjà rentière. Les caractéristiques de ce type d'économie (rentière/de services) gonfle les effets de la situation sécuritaire précaire, de la violence et de l'instabilité politique, et explique pourquoi tant que les oligarches et leurs cartels restent au pouvoir rien ne va s’améliorer, bien au contraire.


Comme les économies rentières ont besoin de stabilité pour fonctionner parfaitement, sinon, elles subiront des chocs soudains de temps en temps, et le choc actuellement subi pourrait être le dernier, selon d'autres experts. Voilà pourquoi il est primordial, selon eux, de promouvoir la circulaire 331 et d'encourager la création de start-ups, de promouvoir la production locale, et de minimiser les imports, afin de rendre des couleurs au pays, de favoriser les investissements et de lancer dans le développement durable afin de ce lancer dans les ODD, mai le chemin sera long, car les conflits des agendas politiques, le népotisme, la corruption et le terrorisme devraient être abolis avant tout essai en ce sens.

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