Estimer l'impact du rôle joué par le secteur bancaire Libanais dans l'escalade de la crise financière actuellement frappant le pays des cèdes de plein fouet

 


Estimer l'impact du rôle joué par le secteur bancaire Libanais dans l'escalade de la crise financière actuellement frappant le pays des cèdes de plein fouet.

Mr. Georges Sebastian Gerard Bellos

Masters Degree Holder in Archeology MBA Graduate Student, Lebanese International University

Saloumi Road, Lebanon


Cette étude vise à étudier l'impact du secteur bancaire sur la crise financière. Grâce à cette investigation, nous analyserons en détail la ou les raisons principales de la défaillance du secteur bancaire libanais, et comprendrons les raisons pour lesquelles le secteur bancaire est passé d'être digne de confiance à peu voire très peu fiable, et quelles mesures elle peut prendre pour annuler les effets de la crise financière.

Comme de nombreux experts dans le domaine économique et financier prétendent que le système bancaire libanais est en grande partie à blâmer pour la banqueroute financièere, et défaillance économique du Liban et sa descente aux enfers, c'est pourquoi plusieurs chercheurs les ont pointés du doigt ainsi qu'aux entreprises du FOREX pour avoir laissé la situation s'effondrer, et qui a été le principal déclencheur de la misère occasionnée, ainsi que de l'hyperinflation.

Comment le secteur bancaire peut-il réduire l'impact de la crise financière, c'est ce que l'étude vise à investiguer. Nous avons sélectionné des méthodes exploratoires séquentielles puisque nous avons interrogé trois experts, puis disséminé un questionnaire à des personnes sélectionnées de manière aléatoire. Cette recherche a mis en lumière l'implication du secteur bancaire, parmi d'autres institutions financières du pays, à sa démise socio-économique. 

Les résultats s'accordent clairement sur le fait que les banques sont parmi les instructions les plus à blâmer pour cet effondrement économique, avec l'élite politique et les autres indications. Prenant ce point de vue quasi unanime que nous avons recueilli à partir de notre collecte de données a déclaré que près de 100 % des réponses, dont les sondages montrent qu'au moins 90 % des réponses en faveur du système bancaire ont énormément profité de l'État et ont par ailleurs causé sa bankeroute, car il a délibérément plongé le pays dans l'endettement. 

Les résultats de l'enquête, confirmant les résultats des interviews et des sondages concordent avec les études précédentes sur le même sujet. Les experts ont proposé plusieurs tactiques de leadership que les managers pourraient instaurer pour faire face aux états de panique élevés, et à l'énorme potentiel d'employés insatisfaits, qui eux-mêmes, pour certains d'entre eux, employés dans les banques sont autant de victimes de ce stratagème orchestré que tous les autres clients le sont. 


Les résultats ci dessous confirment le rôle capital des banques en étant une cause mqajeure dees déboires financiers du Liban (voir: les Figures 1 à 3). La Figure 1 démontre que 80% des réponses du sondage démontre que ce sont effectivement les banques libanaises qui sont une partie des causes de le crise financières qui frappe le pays des cèdres. La Figure 2 indique plus ou moins les mêmes proportions puisque 20% des réponses sont partagées entre les réponses neutres (7%) et non favorables (13%), comme il est question qu'en partie ce sont les contrôles illégaux et contre l'éthique de la gestion des affaires imposées par les banques qui ont causé la révolution populaire du 17 octobre 2019 contre l"oligarchie corrompue. Une autre cause soulignée en interprétant les interviews, est qu'une des causes majeure est l'imposition injustifiée imposée au peuple par la classe politique comme la fameuse Taxe WhatsApp de S.E. Mohammad Chami. Enfin, la Figure 3, 67% des réponses sont favorables, mais le dernier tiers des réponses sont divisées entrez les réponses neutres (20%), et non favorables (13%). En gros cela veut dire qu'en effet, les banques sont à blâmer, et qu'il n'a pas de déni de l'élite qui tienne, vu qu'elle est tenue à elle seule pour l'entière responsabilité et sa corruption a rendu les banques avides par le gain de fonds qui ne sont pas le leur.

 



Figure 1. Résultats de la question 1 du sondage.


 


Figure 2. Résultats de la Question 2 du sondage.


 


Figure 3. Résultats de la Question 3 du sondage.

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